


Générique début: The soulful piano of Junior Mance
Eels “woman driving, man sleeping”
Extraits de la B.O de “Mon Oncle” de Jacques Tati
White Stripes « apple blossom »
Extraits de John Lurie « Chaucer Street »
Dominique A « immortels »
Extrait du film « les enfants du paradis » de Marcel Carné et jacques Prévert
Les Vilars « la vérité »
Christian Bobin
biographie & informations
Nationalité : France-Né(e) à : Le Creusot, Saône-et-Loire , le 24/04/1951
Christian Bobin est un écrivain et poète français.
Après avoir étudié la philosophie, il a travaillé pour la bibliothèque municipale d’Autun, à l’Écomusée du Creusot et a été rédacteur à la revue Milieux; il a également été infirmier psychiatrique.
Ses premiers textes, marqués par leur brièveté et se situant entre l'essai et la poésie, datent des années 1980. Ils sont publiés aux éditions Brandes, Paroles d’Aube, Le temps qu'il fait, chez Théodore Balmoral, et surtout chez Fata Morgana (où il publie notamment Souveraineté du vide et Lettres d'or).
Connaissant le succès à partir notamment d'Une petite robe de fête (1991), il reste un auteur assez discret.
En 1992, il rencontre un autre succès, grâce à un livre consacré à saint François d’Assise: Le Très-Bas, Prix des Deux Magots en 1993 et Grand Prix catholique de littérature. Il publie en 1996 La Plus que vive, hommage rendu à son amie Ghislaine, morte à 44 ans d’une rupture d’anévrisme.
Ses thèmes de prédilection sont le vide, la nature, l'enfance, les petites choses.
Si l'auteur parle de l'"éloignement du monde" comme d'un petit livre de prières, c'est parce qu'il est le fruit d'une réflexion sur l'homme et sur la solitude et que ces méditations sont écrites comme on tient un journal.
(Animation et réalisation : Nathalie Vauthier)
Générique début: The soulful piano of Junior Mance
Eels “woman driving, man sleeping”
Extraits de la B.O de “Mon Oncle” de Jacques Tati
White Stripes « apple blossom »
Extraits de John Lurie « Chaucer Street »
Dominique A « immortels »
Extrait du film « les enfants du paradis » de Marcel Carné et jacques Prévert
Les Vilars « la vérité »