Cie Inouïe
Thierry Balasse
Il y a quelques mois, peut-être vous en souvenez-vous, le ciel a tourné au jaune. Un nuage aux teintes sépia, venu du Sahara a déposé un fin nappage sableux sur nos parebrises et rigoles de trottoirs.
Avec poésie, Fabrice Melquiot nous conte le périple d’un de ces grains de sable venu jusqu’à nous depuis le Nord de l’Afrique. Tantôt installé sur l’épaule ou la paupière d’un humain, tantôt enfoui dans la fourrure d’un dromadaire, le grain de sable traverse notre terre et assiste incognito aux instants qui dessinent nos histoires. Les sons, rythmes et musiques de la Cie Inouïe racontent aussi, d’une autre manière que le texte, les rencontres qui jalonnent ce voyage.
Mais ce matin
Dans la grande ville où j’habite
J’ai reçu dans les cheveux
Dans les cheveux de la grande ville où j’habite
J’ai reçu
Quelque chose qui venait du Nord de l’Afrique
Qui venait de l’ocre et du bleu
Qui venait du désert
Qui porte ce nom
Le nom
Sahara
Fabrice Melquiot
Avec poésie, Fabrice Melquiot nous conte le périple d’un de ces grains de sable venu jusqu’à nous depuis le Nord de l’Afrique. Tantôt installé sur l’épaule ou la paupière d’un humain, tantôt enfoui dans la fourrure d’un dromadaire, le grain de sable traverse notre terre et assiste incognito aux instants qui dessinent nos histoires. Les sons, rythmes et musiques de la Cie Inouïe racontent aussi, d’une autre manière que le texte, les rencontres qui jalonnent ce voyage.
Mais ce matin
Dans la grande ville où j’habite
J’ai reçu dans les cheveux
Dans les cheveux de la grande ville où j’habite
J’ai reçu
Quelque chose qui venait du Nord de l’Afrique
Qui venait de l’ocre et du bleu
Qui venait du désert
Qui porte ce nom
Le nom
Sahara
Fabrice Melquiot