THÉÂTRE DURANCE 27 JANVIER (1.73 Mo)
À l’origine de cette nouvelle création de Michel Kelemenis, deux bonheurs : le souffle de joie provoqué par l’écoute du Magnificat de Jean-Sébastien Bach et, telles des lueurs dans la nuit, les moments partagés avec les danseurs et les danseuses durant ces deux dernières années si âpres.
Magnifiques est une oeuvre lumineuse et enthousiaste érigée à la fois comme une ode aux danseurs et danseuses et un hymne à la jeunesse. Affranchi du sentiment de finitude, le bel âge est une source d’inspiration car il a en commun avec les artistes une liberté décomplexée qui égratigne codes sociaux, carcans de genres ou d’appartenances.
La jeunesse s’autodétermine, s’affirme, éclatante, en construisant de nouvelles identités. Une quête d’unicité, qui, comme pour les interprètes de danse, cohabite avec l’enthousiasme d’appartenir à un groupe. Ainsi le chorégraphe, le compositeur Angelos Liaros Copola dont les notes électroniques dialoguent avec celles de Bach et les dix interprètes puisent dans ce paradoxe : « être singulier et relever d’une foule, demeurer soliste dans une oeuvre chorale, se comprendre particule indispensable à l’ensemble mosaïque ».
Magnifiques est une oeuvre lumineuse et enthousiaste érigée à la fois comme une ode aux danseurs et danseuses et un hymne à la jeunesse. Affranchi du sentiment de finitude, le bel âge est une source d’inspiration car il a en commun avec les artistes une liberté décomplexée qui égratigne codes sociaux, carcans de genres ou d’appartenances.
La jeunesse s’autodétermine, s’affirme, éclatante, en construisant de nouvelles identités. Une quête d’unicité, qui, comme pour les interprètes de danse, cohabite avec l’enthousiasme d’appartenir à un groupe. Ainsi le chorégraphe, le compositeur Angelos Liaros Copola dont les notes électroniques dialoguent avec celles de Bach et les dix interprètes puisent dans ce paradoxe : « être singulier et relever d’une foule, demeurer soliste dans une oeuvre chorale, se comprendre particule indispensable à l’ensemble mosaïque ».